Les Voix de cristal

Diogo Dias Melgás (1638-1700), Salve Regina, Memento homo, In jejunio et fletu, Adjuvanos Deus, In monte Oliveti

Felipe da Madre de Deus (v. 1630-v. 1690), Salve Regina

Improvisations par Michel Deneuve, virtuose reconnu du Cristal Baschet, et Yannick Varlet aux différents claviers.

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Ensemble William Byrd

Le nom de l’Ensemble est inspiré du plus important compositeur anglais de la période Tudor, William Byrd, que l’Ensemble a beaucoup interprété à ses débuts. A la charnière entre la renaissance et le baroque, l’œuvre de Byrd est un exemple très précis de tout ce que Graham O’Reilly essaie d’exprimer en tant que directeur – l’importance des contrastes et des évolutions à la fois de style et de pratiques musicales dans le répertoire de l’Ensemble – persuadé que l’éclairage apporté par la diversité ne pouvait qu’enrichir ses interprétations. L’Ensemble propose donc un répertoire de musique vocale qui s’étend de 1450 à 1750.

La reconnaissance des plus grandes salles européennes et étrangère

L’Ensemble William Byrd est l’hôte régulier de grands festivals de musique ancienne en France et à l’étranger. Les premiers concerts de l’Ensemble William Byrd ont été marqués par des grandes œuvres comme Spem in alium (le motet à 40 voix de Tallis) et la Missa Salisburgensis de Biber, le plus grand joyau de l’époque baroque. Parmi les grands concerts des premières années : Ecce beatam lucem (motet à 40 voix de Striggio) et la Missa Et ecce terrae motus à 12 voix de Brumel (Festival des Cathédrales de Picardie, 1996), Les Vêpres de la Vierge de Monteverdi ou encore le Dixit Dominus et La Resurrezione de Händel.

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